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Le salon culturel de l'Université de Mansoura discute de « la préservation de l'identité égyptienne sous la nouvelle république »

Le salon  culturel de l'Université de Mansoura discute de « la préservation de l'identité égyptienne sous la nouvelle république »

Le Salon culturel de l'Université de Mansoura a accueilli le journaliste Helmi Al-Namnam, ex- ministre de la Culture, lors d'un symposium sur « La préservation de l'identité égyptienne sous la nouvelle République » au club du corps professoral.

 En présence du professeur Dr Chérif Youssef Khater, président de l'Université de Mansoura, du professeur Dr Tariq Ghalwash, vice-président de l'Université des études supérieures et de la recherche, et du Dr Abdel Qader Mohamed Abdel Qader, président du conseil d'administration de l'Université de Mansoura. Club universitaire.

 Le salon culturel a été modéré par M. Hazem Nasr, journaliste écrivain, rédacteur en chef adjoint d'Al-Akhbar et directeur du bureau de Dakahlia.

 La réunion a vu la présence des membres du Salon culturel, des personnalités de l'Université de Mansoura,  des doyens des facultés, des directeurs d'hôpitaux et de centres médicaux et des membres du corps professoral.

 Au début du symposium, le professeur Chérif Youssef Khater a salué l'honneur du journaliste Helmi Al-Namnam, ancien ministre de la Culture de l'Université de Mansoura, soulignant que l'Égypte traverse des circonstances difficiles aux niveaux local et international pour limiter la capacité et les capacités de l'État égyptien, ainsi que les crises que connaissent les pays voisins confirment que l'Égypte est prise pour cible par des forces extérieures et que les récentes élections présidentielles ont vu la participation d'un grand nombre de segments de la population et la large participation des jeunes,

la sélection  de M. le Président Abdel Fattah El-Sisi en tant que Président de la République confirme la conscience du peuple de ces dangers et son alignement derrière sa direction consciente et sage pour construire la nouvelle république.

 Il a également souligné que l'un des piliers de l'État égyptien est le ministère des Affaires étrangères, qui est considéré comme le pouvoir doux pour transmettre la culture égyptienne à l'étranger et a besoin de davantage de centres culturels à l'étranger pour préserver l'identité et diffuser la culture égyptienne  du rôle du ministère de la Culture d'œuvrer à la diffusion de la culture de l'identité égyptienne auprès de la jeune génération pour la développer, leur loyauté et leur appartenance, soulignant que l'Egypte continuera à préserver l'identité égyptienne grâce à la force de son armée et à la cohésion de ses forces armées. ses gens de toutes les sectes.

 Le professeur Tarek Ghalawash a souligné que l'Égypte à travers l'histoire n'a pas perdu son identité et que cette identité est née dans les gènes de la personne égyptienne et apparaît clairement dans les crises critiques et que ce à quoi l'Égypte a été exposée a montré le souci des Égyptiens de préserver leur patrie.

Le professeur Hazem Nasr a souligné que l'intérêt de l'administration universitaire et du Salon culturel pour le sujet du symposium est conforme à ce dont jouit ce gouvernorat et à sa réputation, depuis le fait de repousser les croisades jusqu'aux temps modernes, et que les menaces qui pèsent sur la région dont nous sommes témoins constituent une menace directe pour l'identité égyptienne, dont certaines sont historiques et d'autres géographiques, ce qui nécessite de diffuser la culture de la préservation de l'identité égyptienne.

 La réunion comprenait des interventions, des discussions et des demandes de renseignements de la part des participants sur la manière de préserver l'identité égyptienne à la lumière des nouveaux défis.

 Le journaliste Helmi Al-Namnam, ancien ministre de la Culture, a déclaré que l'Université de Mansoura était un phare de la connaissance et de l'éducation dans la région du Delta et la citadelle de la médecine en Égypte et au Moyen-Orient. Il a exprimé sa fierté de sa présence dans la ville de Mansoura. et la distinction de ses habitants qui ont créé la première université régionale en dehors du Caire et ont donné leur argent au doyen de la littérature arabe, le Dr Taha Hussein, pour la créer, étaient des érudits, parmi lesquels les pionniers des Lumières, Lutfi al-Sayyid, Dr. Muhammad Hassanein Heikal, et d'autres. C'est la ville qui a donné naissance à l'étoile de l'Orient, Om Kulthum.

 Il a souligné que l'État égyptien a été pris pour cible à travers les âges depuis plus de 4 000 ans, car la situation géographique que Dieu lui a donnée lui confère une grande importance. Par conséquent, les puissances étrangères veulent affaiblir l'Égypte par des guerres, des campagnes dirigées et plus récemment, les guerres de quatrième génération et l'utilisation des médias sociaux pour répandre des rumeurs et semer le doute sur les institutions. L'État tente de démanteler l'identité égyptienne, mais l'Égypte restera forte grâce à la force de son peuple et de son leadership politique.

Il a souligné que l'intérêt de l'État pour l'identité égyptienne au cours des dix dernières années est dû à l'intérêt évident pour l'identité égyptienne dans ses différents aspects, soulignant la croissance de cette tendance au niveau interne d'une part, et dans les relations égyptiennes à l'étranger, d'une part,d'autre part, et au cours des dix dernières années, il y a eu un état de promotion du travail culturel, dû au fait qu'après la Révolution du 30 juin, nous avons pris pleinement conscience de l'identité nationale et que nous travaillons à renforcer dans ses différents aspects : nous avons dès le XIXème siècle Rifa'a al-Tahtawi, et au XXème siècle, Dr.Taha Hussein et le Dr Hussein Fawzi, qui ont parlé de la dimension culturelle et de la dimension méditerranéenne dans notre identité réalisée depuis 2014, lorsque le président Abdel Fattah El-Sisi a pris les rênes du gouvernement égyptien et que le président El-Sisi a élargi la création d'universités, qu'elles soient privées ou gouvernementales, les universités ont commencé à prêter attention à la dimension culturelle et aux spécialisations culturelles, ce qui n'a pas été le cas  n'existait pas avant le mandat du président El-Sissi, et le président a parlé dans son discours d'investiture après avoir remporté les élections dans cette perspective, la préservation de l'identité égyptienne est quelque chose qui nous rassure.

  Il a ajouté que l'identité culturelle n'est pas réalisée uniquement par le ministère de la Culture, mais à travers un groupe de ministères et d'organes exécutifs, dirigés par le ministère de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur, des Activités de l'État, le ministère des Affaires étrangères, des Dotations, de la Jeunesse, des Sports. et la solidarité sociale.

 À la fin du symposium, un dialogue a eu lieu sur le thème du symposium du Salon entre l'invité d'honneur, le professeur Helmi Al-Namnam, et les participants au Salon, les membres, les invités et les dirigeants universitaires, où chacun a souligné l'importance de le rôle de la culture dans la préservation de l'identité égyptienne. Le président de l'université a accepté d'organiser une série de séminaires au cours du deuxième semestre sur l'identité égyptienne dans les différentes facultés de l'université, sur la base de la demande des participants au Salon culturel de l'Université de Mansoura. Le professeur Mahmoud Al-Jaidi, doyen de la Faculté des Lettres, a été choisi comme coordinateur de la série de séminaires sur l'identité égyptienne à l'université au cours du deuxième semestre.

  


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